Chârost (18) toponyme à la géomorphologie évocatrice (2)

Chevauchements apocalyptiques

toponymiques

La géomorphologie, forme du relief et de sa géologie, induit des formes de géographie humaine, c’est-à-dire que la géographie physique a une influence sur les occupations humaines et donc sur les toponymes, les noms de lieux.

Cependant, j’ai découvert à Saint-Cyr-en-Bourg (Maine-et-Loire ; 49) que les toponymes subsistent parfois très longtemps. Ils sont gardés car les peuples, généralement nomades barbares mercenaires, qui s’y installent, s’approprient ainsi un peu les lieux en conservant les repères spatiaux déjà installés et utiles à leurs esclaves sédentaires locaux mis, sans raison rationnelle, sous leur joug inique généralement matriarcale et bourgeois.

Ces barbares trouvent parfois un sens ou non à ces noms de lieux, c’est-à-dire qu’ils leur donnent une interprétation selon leur propre génétique, leurs cultures… Le plus souvent, ils s’en moquent et ne connaissent pas le sens des noms de lieux où ils s’installent. Ce sont leurs esclaves, serfs, etc., sédentaires locaux qui transmettent ces toponymes, parfois même sans en connaître le ou les sens eux-mêmes, mais en ont une affection, parfois une douleur, qui fait que les toponymes sont conservés par le plus grand nombre comme repère mémoriel, pratique et comme sauvegarde des lieux qu’ils décrivent. Ils agissent sans que personne ne s’en rendent compte, contes qu’on te…

La preuve, encore, par Saint-Georges-sur-Arnon…

Ainsi, on peut penser que Saint-Georges-sur-Arnon, que j’aborde comme exemple dans mon article précédent, daterait de la christianisation de l’Empire romain au IVe siècle ou de l’installation de cavaliers mercenaires à la fin de cet empire pour défendre l’aristocratie à Saint-Ambroix et peut-être pour fourbir des légionnaires à Chârost. Mais Saint-Georges peut être, de manière surprenante, encore plus ancien, car les toponymes commençant par Saint ne sont pas forcément des christianisations, mais peuvent se rattacher à une racine ancienne, signifiant justement “ancien, vieux ; lien, chaîne…” (senos, sino-, sem-… voir le Dictionnaire de la langue gauloise, par Xavier Delamarre), racine qui semble liée à un démonstratif : ce, cet, cette ces… Ainsi Saint-Georges-sur-Arnon pourrait se comprendre comme ce Georges, ancien Georges, lien Georges, cet ancien lien Georges… Nous ferons, je l’espère un article sur cette question des toponymes saint, sain, ceint, ce Un, s’in…

De plus, Georges, Γεώργιος, Géôrgios, en grec, provient du verbe grec γεωργέω (à prononcer : gué hors gai eau ou j’ai or j’ai haut) : travailler la terre, être cultivateur, laboureur ou fermier ; cultiver, labourer ; par extension en parlant d’un fleuve, entretenir, féconder, fertiliser une terre avec ses sédiments, ses alluvions ; en parlant d’un pays, produire du vin, de l’huile… ; cultiver notamment un art, l’amitié, un lien…

Georges a pour étymologie γε·ωργός, qui travaille la terre, notamment en parlant d’un bœuf ; cultivateur, laboureur, celui qui cultive le sol ; vigneron ou jardinier.

Ce mot est construit avec le grec Γῆ (Gai, Gué ; ici plutôt : j’ai, geai, comme nous l’indique la lettre G en français), la Terre, qui peut être personnifiée dans certaines cultures, notamment la culture grecque ou la culture gréco-romaine, et la terre, γῆ (gai, gué ; gégé), comme corps dans l’espace, astre, par opposition aux autres éléments (air, eau, feu), par opposition à la mer (nous sommes là en limite des ammonites du Jurassique), par opposition aux enfers qui définissent les mondes souterrains, sous la terre, mais aussi terre comme habitation de l’homme, monde, univers, pays, contrée, comme élément producteur, bien de terre, bien-fonds, campagne, ferme, mais aussi comme poussière en parlant d’un mort, et également comme minerai (yang en chinois) de fer, d’or… Dans Georges, on a la suggestion faune-éthique de répétition du Gai haut re… gué, Gué eau re gai, etc., avec une liaison forte par la dernière lettre de l’alphabet grecque, l’ôméga, ώ, pour ouvrir à un recommencement, r, ρ, rhô :

Γεώργιος, est lié à Γῆ  ώ ρ γῆ…

Gué Ô R gué ; geai or geais

ou avec –ill et os…

La graphie est importante… et touche aux fondements.

Il a donné γεωργία (géorgia) : culture de la terre, agriculture, et au pluriel, terres cultivées, ferme. Ce mot se finit par –illa, diminutif féminin évoquant l’eau… Mais, le destin a choisi le masculin pour ce méandre de Saint-Georges-sur-Arnon, un masculin de pâtre, de vigneron, de laboureurs, de fermiers… voire de guerrier, ancien et lié.

Y a –illa ? Avec les deux miches des méandres…

On pourrait le penser… et le panser.

L’alpha suggérant un nœud..

Méandres !

Μαίανδρος !

Mailles…

Mets ανδρ…, andr… d’hommes

N’y voyez-vous pas aussi un joug, ζυγόν ?

A quoi sont liés ces mots grecs dans le dictionnaire le Grand Bailly ?

Pour enfoncer le clou, il contient ἔργον (air gonne, ergot ne… ; air j’aune) : action, œuvre, ouvrage ; occupation, travail, (considéré parfois avec mauvaise intention comme une manœuvre, une intrigue) ; affaire dont on se charge, besogne propre à quelqu’un ; affaire dont il faut se charger, besoin, nécessité ; affaire, embarras ; travail accompli ; œuvre, ouvrage ; chose, affaire, fait, acte… Ici, il est question de la terre et de la Terre.

N’oublions pas que géographie a pour sens gé, la Terre ou la terre, avec la liaison gallo-romaine “o” et la graphie, le dessin, le dessein… en tête.

Saint-Georges-sur-Arnon,

cet ancien lien d’agriculteur

Saint-Georges, c’est absolument anciennement “terre à terre”.

Un nom de lieu est un raccourci… mémoriel.

Mes morts rient, elles… aussi…

Même hors, ris, ailes…

M’aime or…

A travers le portail spatio-temporel spirituel… Dame-Sainte, Saugy…

L’autorité, comme les esclaves, serfs, etc., ne gardent que ce qui peut leur être supportable ou honorifique pour traverser le temps. Ne pas connaître le sens d’un toponyme peut les aider dans leur parasitisme. Cette ignorance peut sauver quelques toponymes… ou non, mais une mauvaise interprétation peut en éliminer.

Pour une surface de 1097 hectares, la commune de Chârost a conservé sur son cadastre ancien assez peu de toponymes, environ 75 (pour la même surface, certaines communes ont jusqu’à plus de 500 toponymes). Beaucoup de communes de la région en ont gardés proportionnellement beaucoup plus. Chârost a donc été probablement amputé d’un certain nombre de noms de lieux. Un tri s’est opéré malheureusement sur la connaissance de son terroir. C’est une sorte de squelette dur d’empreintes, de marques, d’usage long, un noyau. Cette caractéristique se lit curieusement dans le nom Chârost lui-même.

75, c’est peu, les anciens en connaissent-ils d’autres ?

Qui a envie de retrouver du sens ?

Les archives anciennes ?

Ainsi le destin de la paroisse de Dame-Sainte, aujourd’hui Saugy (référence notamment à une plante hallucinogène anti douleur servant aux divinations…), est la preuve que personne ne comprend plus le toponyme de Dame-Sainte qui est phonétiquement une très vieille survivance des débuts de l’occupation humaine se rapportant à la racine grecque dam, qui évoque le peuple, la chose publique, le citoyen (et non la citoyenne, invention très récente turque et allemande nazie précédant la seconde guerre mondiale), la fille publique, la terre habitée, la graisse des animaux ou des hommes (oui, les cannibales existent vraiment)… voire l’État, le bien public, le bien commun… la berge, la pêche, et ne désigne pas forcément une femme mariée (Damas, damas).

En grec le δαμ (dame, d’âme…) équivaut au δημ (Dême, d’aime…). C’est un toponyme à mettre notamment en rapport avec une jolie rivière d’Indre-et-Loire, la Dême et avec bien d’autres noms de lieux comme Dame-Marie-les-Bois, La Bonne Dame (Françay, 41), la Ville-aux-Dames… Ce nom, Dame-Sainte, a été gommé comme nom officiel de la commune en 1911, lors d’une révolution communiste qui n’a pas dit son nom, prélude au génocide des Français. On sait quelles tribus, quels peuples, font cela partout… et avec l’aide de quelle trahison… Pour le savoir, il suffit de l’Histoire, science de toutes, qu’ils veulent évidemment effacer et supprimer. En êtes-vous ? Que faites-vous donc là ? L’historien examine la réalité… et ses liens.

Fais mine –ist (suffixe allemand où/ou halle ment)

très barbare et primitif…

non civilisé.

C’est très sophistique et…

Renseignez-vous sur le bonnet phrygien d’une mère anatolienne

qui émascule son fils pour l’engraisser, s’en servir d’esclave et de réserve de nourriture.

Le nom officiel Saugy, évoque la culture d’une plante hallucinogène qui calme les douleurs et qui sert aux divinations. Le grand centre cultuel romain de Renaize, Saint-Ambroix (anciennement Saint-Hilaire, très célèbre évêque de Poitiers, décédé en 367, qui connut la Phrygie, qui essaya de recoller en vain l’Église orientale grecque à Saint-Pierre de Rome, et qui accueillit l’ultra célèbre légionnaire saint Martin), Ernotrum, Arnodurum, Ernodurum, se trouve juste en amont… Cependant, à travers le grec (voir Le Grand Bailly), on perçoit que Saugy évoque le fait de soulever, de grandir, de charger (ce qui revient un peu au même sens), et évoque aussi l’écoulement (la sauge est une plante abortive), le flux menstruel, le sang (notamment celui des sacrifices qui devait couler en ces lieux sous l’Empire romain), l’épanchement, le ruissellement, la rivière, le fleuve, la parole, mais également le fait de sauver, de protéger, de libérer, avec une évocation de l’arc, de Diane, de l’archer, de l’Apollon Medicus, du roux, du ridé, du guide, du défenseur, de la courroie, de la corde, de la lanière, du fouet, de l’appui, du support, du fortifiant, du faire faire et du faire fer…

Pratiques orientales… ou hollandaises ?

Empoisonnements et soins ?

Principe hégélien ?

Barbarie ?

Peau ou pot à suspecter ?

L’Histoire locale, la géologie et les nombreux petits vallons, semblent renseigner tout cela, avec notamment le terroir du Puits Bailleux, les Combes, le Cros, les Caves…

En aval, après Dame-Sainte et la Croix de Dame Sainte, le hameau suivant, dont le nom a été aussi gommé, est la Folie… que plus personne ne comprend non plus, près du Grand Faubourg de Chârost. Nous avons déjà abordé ce toponyme dans l’article précédent.

Une orthographe lexicale ? Non, nom faune-éthique…

On sait que l’orthographe des noms de lieux est souvent une mode. Pour un même nom de lieu dans un document du XVIIe siècle, on peut trouver parfois, deux, trois, quatre, etc. orthographes différentes. C’est essentiellement la phonétique qui comptent, et qui conte vraiment la réalité locale, c’est la faune éthique dont fait partie la géomorphologie. Un bovin ou un cheval ne va pas s’abreuver à un sommet sec, mais dans le fond de la vallée. Un village doit parfois s’installer en hauteur pour se sauvegarder… C’est la géomorphologie et ses annexes, hydrologie, géologie, etc., bref l’Histoire, science de toutes, qui en décident.

Si vous êtes septique, cep tique, avec des pensées fausses, septiques…

relisez mes articles précédents

et cochez le QCM.

Et sans revenir sur les racines et additions grecques des articles précédents, rappelons que le jour et la nuit, le sec, le gel et la pluie, les hommes et les bêtes, la flore et la roche, etc., la géomorphologie ont créé… tout ce las ancien.

Chârost, une tête, un casque, une tête casquée…

Le toponyme de Chârost est défini par son méandre et par la pente douce que protège l’Arnon, sa sueur, et son coteau d’en face, de forme arrondie. Ce coteau dont le panorama est offert à Chârost, est sa protection, son casque, et Chârost apparaît comme une tête casquée.

Cette évocation géomorphologique est accentuée par le Grand Faubourg, un cimier. Le toponyme du Grand Faubourg évoque aussi la carapace de cuir. Le plus ancien homme du néolithique a été trouvé dans un glacier des Alpes avec un bonnet de cuir d’ours. Les casques à crête ou à panache sont connus archéologiquement depuis l’âge du bronze, la Grèce ancienne, mais aussi à travers la période gauloise et la Rome antique. Homère les évoque dans l’Iliade.

Cette évocation d’une tête casquée, militaire, est renforcée par les bras de l’Arnon, rivière qui semble avoir été déviée pour rapprocher son cours de la pente douce de Chârost. Au Grand Faubourg, ces bras d’eaux évoquent les carotides. Le rouge du sang et le brillant du bronze sont aussi évoqués dans le toponyme. La Fontaine Rougeline (orthographiée Rouseline sur le cadastre ancien), sans doute ferrugineuse ou servant à laver les carcasses des trophées ou des boucheries, accentue encore l’évocation. Il évoque une frontière de sang.

La dureté du casque, ici de la roche, de la pierre, est rappelée dans le nom lui-même de Chârost, avec l’évocation du dieu de la guerre, Arès, mais aussi à travers l’évocation de l’os, du noyau dur, de la coquille, et de la couleur pourpre de la puissance. Le nom dans son environnement évoque aussi la chair, le cher, la blessure, la déchirure, la cicatrice, la marque de brûlure, la pourriture, la ruine et la mort et la façon de s’en défendre et même les soins.

Le toponyme de Chârost évoque en plus l’interpellation, le réveil, le mérite, la qualité, la force, la supériorité, le service, mais aussi la faiblesse, la maladie, l’engourdissement, et d’autres évocations anatomiques. Il évoque un crâne et l’attitude crâne. Les murmures des Soudis… et Thoiry, et les clous art des Cloires.

Que retiendrez-vous ? Cela décrit vos gênes et vos gènes…

Mire hoirs, mon beau miroir…

Le second méandre, celui de Saint-Georges, lui fait face, comme l’évocation d’un affrontement.

Cette tête est tournée vers l’ouest, vers le soleil couchant, le crépuscule.

Chârost le casque la tête

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jusqu’à preuve du contraire…

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Chârost une évocation guerrière gauloise et gallo-romaine

Outre l’évocation du dieu de la guerre Arès, celle du casque, du crâne, nous avons bien sûr la proximité de Saint-Georges, mais aussi l’évocation d’un char de guerre décrit dans la Grèce ancienne, dans Homère même, avec même ses faux.

Les deux méandres évoquent, comme le toponyme Chârost, un arc (de forme orientale), d’un archet et de son carquois. Ils évoquent aussi une balance… le jugement de l’homme et le Jugement de Dieu ou d’un ancien dieu, ou d’une abstraction aveugle grotesque. L’église Saint-Michel peut rappeler l’Archange (les deux ont une origine asiatique) est assimilable à Apollon, voire à Mercure, dans l’histoire des mythologies, son Petit Faubourg ne faisant que renforcer l’ensemble de l’évocation. Le roulement des eaux dans les deux méandres de Chârost et de Saint-Georges dont le relief évoque le travail du charron, évoque aussi, avec ses gués, Charon, le nocher des Enfers, le passage de la vie à la mort, ou le maître d’équipage, le charpentier.

On trouve aussi dans le nom de Chârost et sa géomorphologie, la joie, Grâce, la beauté, Vénus, les Charites, les muses… les miches, la maternité… souvent seule motivation du guerrier. Seins Georges ? Gorge ?

Le nom évoque aussi les pieux de défense, le camp retranché, les palissades, mais aussi l’incendie, le rouge du feu et du sang et le brillant des armes étincelantes, mais aussi les cheveux blonds, fauves d’Hèlène de Troie, la vile ville, convoitée et défendue par Arès, ainsi que le clair, gris ou bleu, de leurs yeux. On croirait même voir l’évocation du char d’Apollon, le Soleil, voire son arc ou celui de Diane. Mercure, le dieu le plus sollicité des Gaulois, selon Jules César, y trouve allègrement sa place. Y ont pris leur place, le grand ange, face à la Grange et aux moulins, l’Archange Saint-Michel, l’Agneau de Dieu aussi, près du grand martyr et grand guerrier, patron de la Russie et de l’Angleterre, Saint-Georges.

L’aire de la ville de Chârost, de son château et de ses dépendances (aujourd’hui un parc), qui contenait une chapelle Saint-Sauveur, ont, comme nous le verrons, les dimensions et la régularité militaire d’un camp romain. L’emplacement et la structure double des fossés sud du château pourraient être la trace d’un ancien grand habitat gaulois circulaire (à voir sur le cadastre ancien).

Nous sommes là sur une ancienne route reliant Bourges à Issoudun, deux oppida gaulois. Nous ne sommes pas loin de Châtillon et du Bois du Palais, en avant-poste avant Bourges, l’ancienne Avaricum. Curieux ? Non, on trouve la même situation de villégiature aristocratique à l’Ouest d’Angers, face au vent marin d’ouest pour échapper aux mauvaises odeurs de merde et de pourriture de la vile ville. Danger ?

Avarice homme, quand tu nous tiens…

Eh ouais, ris comme… !

AVA RIC UM !

Graphie…

Gras fit !

Les Boulards, qui évoquent les ammonites du Jurassique, en face de Saint-Georges évoquent aussi Jupiter et les catapultes romaines de défense des voies, fluviales ou routières, et des frontières. Un vrai guêpier… où les guêpes sont attirées par l’eau, le sang, et la viande. Le gué pillé…

Nous sommes là en amont du Grand Port, une survivance du trafic fluvial, qui se trouve non loin sur Lazenay, près de la Ferté, un toponyme militaire.

Chârost milite aire, milite air, militaire…

et le secours.

Chârost militaire

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Chârost une évocation du labeur des labours et des vignes…

Nous avons vu que Saint-Georges-sur-Arnon évoquait les labours et l’agriculture. Le toponyme de la Grange, en face de Chârost en est un autre rappel. C’est aussi le cas de Chârost avec le travail de l’araire. Le nom évoque la raie, l’entaille, la déchirure, le sillon, mais aussi la tranchée d’écoulement, la rigole que l’on appelle aujourd’hui fossé de drainage.

Le limon de la rivière y permet l’amendement des terres. C’est une douce pente de terre fertile, sans doute très anciennement cultivée, d’où l’eau est facilement accessible et même où l’homme semble avoir dévié le cours de la rivière pour le rapprocher à son usage, créant même des bras d’eau, des biefs, pour recueillir et affiner l’argile de ses poteries, pour y tanner son cuir, pour y abreuver ses bêtes, pour y fouler et y traiter sa laine, son lin et ses autres plantes à usage alimentaire, vestimentaire ou autres…

Le toponyme de Chârost évoque les échalas, les supports des vignes, que ses pentes rendent possibles. Il évoque aussi les boutures et quelques plantes comme la carotte, le chervis, berle des bergers…

On y trouve aussi l’évocation de la roche rouge, de l’argile cuit, des pots, des amphores en fort en renfort. Même la noix et les noyers, arbres associés souvent à la viticulture sont évoqués dans le nom (oui, ce n’est pas une plaisanterie, la singularité plurielle…), tout comme le hêtre.

Il évoque la création et la Création, l’engendrement, la masculinité. Il évoque encore l’art haut, voire le chas de l’aiguille…

et le secours.

Le nom est comme Saint-Georges, une invitation à ne pas faire dégueuler la terre dans la flotte, mais à en prendre soin et à la remonter, l’amender et l’arroser avec mesure, c’est-à-dire avec la tête d’un homme, ou d’une serve ailes… Chârost aussi…

Chârost terre néolithique

L’homme, l’Homme, restant et étant la mesure de toutes choses…

Historien rural d’expérience, je peux affirmer que

cette terre est agricole depuis le néolithique…

voire une tenure des Néanderthal…

face à l’Orient voire le précédant.

Le méandre de Saint-Georges correspond à son crâne,

celui de Chârost à un Africain blond qui ne le dément pas encore… ?

Les cornes de bélier, les méandres, les ammonites, attributs du front de Jupiter…

Chârost paléolithique

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Chârost, l’Arnon, l’Agneau, la houlette et le Berger

L’Arnon est une évocation linguistique de l’agneau, voire de son cuir. Ses méandres sont une évocation des cornes d’un bélier, un peu comme la lettre ôméga dont l’alpha serait le nœud, le poisson, la qualité de l’eau, le début et la fin, la mort et la résurrection. Chârost est aussi une évocation de ce pastoralisme néolithique de désertification. Il a transformé cette immense forêt en un désert agricole, sans doute après les invasions barbares celtes qui s’engraissèrent du commerce avec Rome d’où cet emballement de déforestation pour le blé et les moutons qui créa la Champagne berrichonne que prit Jules César et ses légions. Chârost y apparaît comme une pente d’abreuvoir, sans doute pour d’autres animaux avant. Son toponyme y évoque la brûlure du Soleil, la ravine, mais aussi la houlette du berger, la berle des bergers des pâturages humides, les berges et le Berger. L’élevage et l’agriculture de peuplades de désertification, de peuplades turques ou du Moyen Orient, dont l’orientation du méandre de Chârost nous invite à réfléchir à l’origine et à nos origines à tous.

Il Est l’ α et l’ Ω voir l’ ω

Α, α  kaï  Ω, ω

Ka, kaï, chat, chas, caca, CAC à… ?

Et, hé, hé, hé, et…, et les laids potes rient…

Son nom évoque le fait de carder la laine et de tanner le cuir et de cuire la roche. Il évoque les fonderies, les forges mais aussi les fours et la sortie des fours, notamment des poteries puis des tuileries, l’enlèvement, la suppression, l’écoulement, et les bassin de décantation, mais aussi les prières, les souhaits, et également les superstitions, les imprécations maléfique, les malédictions, les vases faits de vases, les cruches aux cruches, outre les outres, Adam et Eve, les orientaux, les récipients d’air, d’aire, et les récipiendaires des récits pillant d’aire, car le toponyme Chârost évoque aussi le fait d’émerger, donc de naître, de se réveiller, voire de ressusciter après une mort plus ou moins longue (ce que l’on fait dans le sommeil avec une succession de « petites morts » qui soignent le corps), et aussi le fait de puiser à la source et à Dieu (anciennement Zeus, chez les Grecs, le Z, Ζ, ζ, correspondant souvent en toponymie à notre J…, au « je » et à nos jeux et aux joues de nos sourires), qui cumule la vie, comme autrefois l’ammonite qui tourne lentement autour de son port avec sa peau pour en agrandir les contours avec son corps langu…

et le secours et son ancienne racine “avec, le long de… vers le bas…”

un vrai principe augustéen (voir mon article sur la création de la ville de Tours)…

Chârost et l'agneau

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Un parc à bestiaux domestiques, ou à domestiquer, idéal, arable, fertile, facilement défendable, jardinable, clôturable (aux Cloires par exemple), évoquant le démarrage néolithique de nos origines françaises agricoles.

Y voyez-vous plus clair ? car, c’est dans le nom !

Même l’insistance à prendre soin

et à défendre.

La saignée de l’Arnon, un abreuvoir cumulatif, hâtif et à tifs…

Chârost est sans aucun doute un très ancien lieu d’abreuvoir, un milieu de vie, pour la faune éthique locale presque disparue (dont les mollusques, les crustacés, écrevisses…). Son nom évoque une trace, une cicatrice, ses terres humides, ses limons fertiles, anciens et nouveaux (Fx, Fy-z, Fv-w sur la carte géologique), le lit de sa rivière, sa faune et sa flore associées, son ravin d’en face, ses tranchées d’écoulement, sans doute aussi très anciennes. Chârost est-il une évocation de la barbarie germanique ? de la civilisation romaine ? de l’esclavagisme gaulois ? des terroirs de l’Âge du bronze ? des prémices agricoles du Néolithique ? et pourquoi pas du Paléolithique ? Qui peut le dire avec certitude ?

Il a été un abreuvoir pour tous les envahisseurs de cette terre,

un cumul et même sans doute un cul mule pour Jules César.

Chârost est de la famille linguistique de la rivière du Cher.

Sur la carte  géologique, on s’aperçoit qu’il est facile de le clore, de planter de gros piquets, évoqués dans le nom de Chârost, en Fx et en Fv-w. C’est important et pourtant tout le monde s’en tape.

Chârost ! Les laids laits Lay Cloires, ch’t’œufs Dis ! et le grand faux bourre…

mis out, mis à août, miaou te…

pour l’aise os…

Chârost origines agricoles

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et avec altitude…

Chârost une évocation des vrilles et des échalas

Le toponyme de Chârost évoque les vrilles et les échalas des vignes, qui sont normalement des arbres dans les arbres, car les vignes sont des plantes grimpantes à 10 à 15 mètres de hauteur. Sur les coteaux, cela fait parfois haut, surtout sur les Guillaume et autres géants de l’Atlantide (voir mon article à ce sujet). Les bras enlacés en lacets de l’Arnon en sont une brillante évocation et une judicieuse suggestion auxquelles nous obéissions, car c’est parfois gelé ici.

Ces vrilles montent vers Caris, Cares, le Cher, en se mariant avec la Théols (voir mon article à propos de ces origines divines un peu sous le… joug d’Issoudun), en passant près de Migny, Lazenay, Reuilly, Cléry, Lury-sur-Arnon, Saint-Hilaire-de-Court. On pourrait écrire ceint ill ère de cours ?

Chârost vrille

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Un espace perçu qui se réduit dans un monde qui s’agrandit

Votre monde s’est agrandi, mais votre perception et votre espace de perception sont devenus proches du néant, uniformes. Cette étude en est la preuve.

Chârost, avec ces ammonites, ces échalas, ces supports, son secours, etc., son sommeil et son engourdissement, mais aussi ses blessures, son interpellation, etc. nous invite au réveil après un bon somme et cette bonne somme, à grandir, voire à s’endurcir, pour la joie et la grâce des lieux.

Avec le toponyme Chârost et son environnement, on s’aperçoit que nos ancêtres avaient une vision parfois minuscule des éléments naturels et parfois bien plus vaste que la nôtre, et pas seulement pour leur intérêt propre, car polluer à Chârost pollue à Tours ou à Rome. On peut y apprendre à percevoir, à relire (étymologie véritable de religion), encore et encore, et à s’en enrichir.

En prendre la mesure… infiniment petite ou infiniment grande en commençant par du mesurable, complexe, mais appréhendable normalement par un homme.

Responsabilité. Res ponce habilité…

Poncet ? Poli ?

Si Chârost est une tête, où est son corps ?

Chârost, une vaste évocation d’un personnage gigantesque

A bien observer la topographie, on s’aperçoit que le corps est bien là, couché sur le côté, tourné vers le Soleil couchant. Il fait une longueur à vol d’oiseau d’environ 12,5 kilomètres, soit avec les courbes environ 15 kilomètres. Ces pensées, partent vers la Théols et le Cher telles des vrilles de vignes. Son ventre, sa ceinture, se trouve à Saugy et Dame-Sainte, son cul est au ruisseau du Pontet, qui ressemble à une queue ou à sa merde (on peut y voir une seconde jambe, tel un bébé endormi). Ce vallon se colle à l’Arnon au Branlis, qui désigne probablement le coteau d’en face, rive gauche, et qui désigne éventuellement son sexe. Ce coteau de la rive gauche, porte le nom du Trou à Porcher qui semble désigner le ruisseau du Pontet, parce qu’il est bien aperçu de là. Cela nous invite à faire une inversion où chacun voit l’autre pour le désigner.

Le grand bonhomme est assis à Boissereau, le bas de sa cuisse est à Renaize (on pense à Jupiter… là où il y avait un grand complexe religieux gallo-romain) et son genou à Saint-Ambroix, face à Saint-Hilaire. Son talon d’Achille est à Harpé, le Chétif, et son talon au Pré Sainte-Marie, près des Brosses. Sa voûte plantaire au Bois de la Bataille et il se réchauffe les pieds au Bois de Luc, sans doute un ancien bois sacré, de fait, la seule bouillotte locale. Le bois, disparu, de l’autre côté de l’Arnon s’appelle le Bois de Ballais (Bas Lay…). Ces orteils sont à la Tuilerie et au Bois de Saint-Long.

Le destin a placé à ses pieds l’abbaye de la Prée (aujourd’hui en ruine) et ce grand corps s’arrête à la Vallée de Laray, rive droite, et à la Vallée des Cailloux, rive gauche…

Chârost grand bonhomme

Le grand guerrier endormi, couché ou mort… Connu ? Inconnu ? Conscient ? Inconscient ?

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Que ce soit vrai ou non, cela n’est pas le problème, maintenant, cette perception existe ou ré-existe de par mon fait, ici, présentement. Son grand cœur n’est-il pas le Bois de Millandre, derrière les Barreaux et relié à l’Arnon par le Puits Bailleux ? Milandre est construit en grec avec les racines « mil », vermillon, rouge vif, et « andre », l’homme, mais on peut y voir autre chose… Ce nom décrit presque l’église Saint-Michel de la paroisse.

Le Puits Bailleux n’est-ce pas l’ancien nom de ce sommet ?

Le bon sommeil guérit presque tout…

et il ne faut pas réveiller

l’eau qui dort…

Chârost !

et la grande roue d’Issoudun…

où lare est nié, où l’art est nié, où l’araignée…

Mais non, c’est une cage d’écureuil… C’est pour la pantoufle de vair…

Je suis sûr qu’un Allemand y verra le chaudron de Gundestrup du Jutland.

Chârost Issoudun

Issoudun, l’hydre au logis, près du Bois du Roi, le Bois dur roux (en automne) a…

Au sud-est, vers le Soleil levant, le Bois de Luc… aux pieds de l’Homme…

de Chârost. Est-ce si simple ?

Vérifiable avec les outils linguistiques et sur Géoportail service public

jusqu’à preuve du contraire…

Si vous avez un doute, relisez les quatre derniers articles ou achetez-vous un dico.

Dans le sens où Jules César voit le monde,

appuyé comme une toupie sur l’étoile polaire…

c’est ainsi :

C’est Bourges qui le tient, l’homme mort ou drogué ? Un bébé ?

Sacrifice cannibale ? Accident de char host ?

Le sang, comme l’eau, s’écoule vers le bas…

Chaudron de Gundestrup ? Marmite franc-maçonne ?

A quoi vous fait penser l’Angleterre (la Bretagne) le bec dans l’eau ?

A l’origine des dieux… des hommes et des pensées divines

Pour qu’elle le garde, j’aurais dû lui dire qu’il sortait de la cuisse de Jupiter, ou que c’était le jus d’une licorne, en bricolant une dent de narval sur un poney martyrisé, parasité, mongol ou chinois… Curieuse addiction… Elle en aurait fait un dieu de plus… Elle avait déjà essayé les cygnes, les aigles, les taureaux, les étalons, etc. Pourquoi pas les manchots empereurs anglais ? ou autre chose…

L’enfant est en fusion avec sa mère, même en pensées…

Ré-observez bien les alevins de poisson chas…

les étourneaux, les sardines…

dans leurs boîtes.

Alors pansez !

Grandissez !

Ode hissez…

J. C. et surtout J.-C.

“La Vérité vous rendra libre…”

et c’est cette Culture, les cultures, qui vous nourriront.

Charles Trenet ! aussi est à réécouter et à relire… Relier ? Nom ! Relis !

“La mère qu’on voit dans ses…, le long des Golf claires a des reflets d’argent, la mère…”

Art roman : chouette défigurée ? Harpie muette ? Trahison ? Intention volée ?

Roue du destin, de la fortune ? Comète ? Char solaire ? Astre chanteur…

qui en a oublié ses oiseaux, faune-éthique, migrateurs ou sédentaires.

Chapiteau de l’église Saint-Michel de Chârost (Cher ; 18)

Photo Nicolas Huron

Pour encore et en corps mieux comprendre, vous pouvez aborder mon article sur Théo, la Théols, mais aussi sur les Guillaume et les Géants de l’Atlantide et relire Homère, Jules César, et le Nouveau Testament, et surtout mettre à la poubelle, à la Géhenne, décharge publique située dans un coin de Jérusalem, ou ailleurs, la barbarie infinie de…

“Tout est dans tout” et ce n’est pas une maladie. Mal a dit ? Mâle a dit !

L’Homme, et l’homme, est la mesure de toutes choses

Et, tous les chemins mènent à Rome !

notablement à CAIUS FUFIUS CITA

au ravitaillement des légions de J. C.

qui avaient sauvé Orléans, Genabum

L’histoire est la science de toutes…

Gras halle ou Graal des rives ?

Nettoie y âges… NET ?

Perdu ? Père dû !

Homme ?

Si, re…

Saint-Cyr-en-Bourg !

Cale lys, calice, Ka lisse, Châle hisse !

Carte-partage-decouverte-Charost copie

Chârost : liens de recherches…

Casquez !

Pour comprendre, vous avez aussi mon blog comprendre-le-monde… et pour apprendre à lire, mon blog apprendre-a-lire-devenir-lecteur… mais je crois que vous n’êtes pas de cette planète ni de ce plat net que l’on appelle Champagne, voire campagne… Alors imaginez, la Beauce…

Hominidé, omis nid des… ?

Compta queue te…

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